Rentre sur Buenos Aires

Content les gens !

Apres quelques temps de galere nous voici enfin a Neuquen, plaque tournante pour qui veut trouver un bus pour Buenos Aires. Une necessite vu que l'on doit y accueillir Emilie le 3 mars.

Aujourd'hui apres six heures d'attente nous avons tire le gros lot et parcouru les quelques 450 km d'une traite, cheveux au vent. D'ailleurs quand le pick-up s'est arrete on a eu un doute. Il etait charge 20 cm au dessus des ridelles. Bon moi je me suis degotte la place sur la couette et ai laisse la boite a outil a Eugenie. Cool pour 7h30 de trajet ! Et puis comme ca j'ai pas vexe la feministe qu'elle est...

Auparavant, c'est a dire cette nuit, nous avons connu notre premier souci de camping sauvage quand des poulets fievreux nous ont attaques. Police qui disaient, en frolant la tente de leur zele. "Por rason de securitad vos no dormir cerca de la carretera" que j'ai compris dans monj sommeil. "Vos ir en el camping". Bah non alors, on s'est deplace de 500 m et reveil cinq heures plus tard pour attendre six heures dans le froid et faire offrande le temps de 4 km de mon saucisson a des Mapuche. Ca c'est la version d'Eugenie, j'crois plutot que cette vegetariste de ?#?### a accoñpli un acte non manque.

Allez demain el bus et Buenos Aires. Aie, Aie, Aie. Une ville, mais des patates a la creme. C'est mon reve depuis trois semaines. Car ici fruits et legumes sont veritablement delicieux, mais en option avec la viande.

Voila, suite au prochain numero ou je vous conterai peut etre les milles et un avantages de decouvrir un pays en stop...